« Eugène M. Antoniadi et les « canaux martiens » » par Pierre Lacombe
mer. 21 sept.
|Cégep de Lévis - local E-206
Heure et lieu
21 sept. 2022, 19 h 30 – 21 h 30
Cégep de Lévis - local E-206, 205 Route Monseigneur-Bourget, Lévis, QC G6V 6Z9, Canada
À propos de l'événement
Observateur émérite dont la carrière s’est déroulée presque exclusivement en France, Antoniadi a toujours été très critique par rapport à l’hypothèse des « canaux martiens » à la surface de Mars. Ses observations méticuleuses et ses magnifiques dessins de la planète Mars ont d’ailleurs permis de démystifier cette « phobie » de quelques astronomes, sans toutefois mettre fin au débat public. La carrière de cet observateur hors pair sera esquissée lors de cette présentation.
Notes biographiques
Pierre Lacombe s’intéresse sérieusement à l’astronomie au cours de ses études collégiales et universitaires. Il obtient son diplôme de maîtrise en physique (astronomie) en 1980 sous la supervision de Gilles Fontaine, spécialiste des étoiles de type naines blanches.
Au cours de ses études doctorales, il réoriente sa carrière de chercheur et devient, en 1984, conseiller scientifique au Planétarium de Montréal. Il est alors responsable de la production des spectacles multimédias et des programmes éducatifs de l’institution. En 1988, Pierre Lacombe est nommé à la direction du Planétarium de Montréal: poste qu’il a occupé jusqu’en 2018.
Il est l’artisan du projet d’un nouveau Planétarium dans l’est de Montréal, près des autres composantes d’Espace pour la vie de la Ville de Montréal (Jardin botanique, Biodôme et Insectarium). Le nouveau Planétarium Rio Tinto Alcan ouvre au public en avril 2013.
Au fil des ans, Pierre Lacombe s’est spécialisé dans les domaines de l’histoire de l’astronomie et des météorites. Il a écrit de nombreux articles de vulgarisation en astronomie, surtout dans la revue « Hyperespace », publiée par la Société d’astronomie du Planétarium de Montréal (SAPM) et présenté plusieurs conférences dans divers clubs de la Fédération des astronomes amateurs du Québec (FAAQ). Il s’intéresse aux voyages (surtout ceux pouvant être associés avec l’astronomie (cadrans solaires, éclipses, musées, observatoires, etc.)), à l’histoire de l’astronomie (surtout celle de l’astronomie amateur au Québec) et au partage de l’astronomie avec le public et les membres des clubs d’astronomie.